Hopare : le petit frenchie devenu grand

Les traits sont fins, maitrisés. Les portraits sont colorés et font penser à ceux réalisés par David Walker. Mais les oeuvres d’Hopare ont ce truc en plus. Cette singularité, ce style graphique qui vous font aimer le street art.

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A 26 ans, Hopare n’est pas un novice dans l’univers de l’art urbain !

Le petit frenchie découvre le graffiti au collège, où son prof d’arts plastiques n’est autre que le célèbre street artist Shaka. Il commence par le lettrage, pour doucement développer son propre style, abstrait et graphique.

Jamais sans son appareil photo, Hopare s’inspire de ses voyages, des gens qu’il rencontre et de leurs émotions pour ensuite les réinterpréter dans ses oeuvres. 

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Petit prodige du street art, il maitrise de multiples techniques, qu’il utilise selon l’émotion qu’il veut faire passer.

Pour ses peintures murales, il improvise une fois face au mur : il trace les lettres et les couleurs au fat cap avant d’ajouter les figures abstraites.

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Un peu touche-à-tout, il s’attaque désormais au collage, après avoir longtemps pratiqué le tag. Ses dernières oeuvres intègrent des portraits qu’il a pris en photo et qu’il recompose avec du découpage-collage. Il les travaille à l’encre, ce qui lui permet de réaliser des traits aussi fin qu’avec la technique du « ruban de soie ».  

Et s’il n’y a pas de message particulier derrière ses oeuvres, c’est parce qu’Hopare veut juste inviter les passants à entrer dans son univers colorés.

Nous, on accepte l’invitation !

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